Ajouté le : 11 / 05 / 2022
Mais qu’est ce qui fait courir les acquéreurs bordelais ?
Il y a bien sûr la qualité de vie, celle de l’architecture des immeubles, le prestige du vin et des châteaux, et une accessibilité renforcée par l’arrivée de la LGV.
Sensibles à ces atouts, les candidats à l’acquisition d’une résidence dans la métropole bordelaise continuent à répondre « présent », malgré la hausse des prix intervenue il y a quelques années.
Néanmoins le Covid est passé par là, et leurs exigences sont montées d’un cran, faisant des espaces extérieurs un prérequis pour les biens premium.
Les maisons en centre-ville disposant d’un jardin bénéficient d’une forte demande, surtout quand leur prix de vente est contenu en-dessous de la barre du million d’euros. A fortiori lorsqu’elles sont localisées dans les secteurs Croix-Blanche ou Jardin Public.
Certaines de ces pépites ne restent que quelques jours sur le marché, tandis que les délais de transaction s’allongent pour leurs homologues sans extérieurs. La sanction est identique pour les appartements dépourvus de parking, ou d’ascenseur en étages élevés.
Bref, les maisons et appartements « avec défaut » ne trouvent preneur qu’à l’issue d’une aride négociation sur les prix.
En cela, l’immobilier bordelais évolue sur le même trend que celui de Paris. Il est tout comme lui rationné en termes d’acquéreurs étrangers, mais voit poindre depuis l’été un afflux discrets de clients européens ; allemands et espagnols en tête.
Et l’agent immobilier dans tout ça ? Son rôle est plus que jamais de procéder comme un chasseur, mobilisant son réseau afin de débusquer la perle rare pour un client exigent. Un travail d’orfèvre qui parvient à faire coïncider offre et demande. C’est ainsi que nous fonctionnons chez Blue West immobilier.
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Blue West
